lunedì 11 febbraio 2019

Le tri sélectif des déchets

Comment aider à sauver la planète


La planète est menacée, le réchauffement climatique est là, le niveau des mers monte, la faune et la flore sont en danger. Peut-être êtes-vous concerné par cette situation, et vous désirez vraiment faire quelque chose pour notre bonne vieille Terre. Par quoi commencer ? Certes, ce que vous pourrez faire ne sera qu’une goutte d’eau, mais si tout le monde fait de même, alors les petits ruisseaux feront les grandes rivières. 

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Pourquoi parle-t-on du « sixième continent » ?

Découvert en 1997 par le capitaine Charles Moore le sixième continent est une zone dans l’océan Pacifique où les déchets plastiques flottants s’accumulent et où rares sont les bateaux commerciaux à naviguer. En raison des courants marins, les déchets y sont rassemblés et y flottent.
Deux plaques, une dans le pacifique est et une à l’ouest forment la grande plaque de déchets du Pacifique dont la taille aurait déjà triplé depuis les années 90. Elle couvrirait aujourd’hui 3,43 millions de km², c’est-à-dire cinq à six fois fois la superficie de la France et descendrait jusqu’à 30 mètres de profondeur.
Dans cette zone un véritable vortex attire tous les résidus de la société de consommation. Et la concentration est effrayante. Jusqu’à 10 fois supérieure à celle du plancton. Une fois dans cette zone le plastique qui constitue 90 % des déchets flottant sur les océans participent à la formation d’une soupe. Car si on utilise le terme de “continent” c’est pour marquer les esprits. Il s’agit plutôt d’une soupe de plastique. Il faut en effet filtrer l’eau pour découvrir une mixture faite de petits morceaux de plastique de la taille d’un confetti, dont la largeur est inférieure à 5 mm.
Il faudra près de 1000 ans pour que ces plastiques disparaissent naturellement. Les plastiques biodégradables ne représentent que 0,5% de la production mondiale. Et la pollution qui en découle n’atteint pas uniquement l’eau. En effet on estime que 3 poissons sur 10 ont ingéré du plastique et qu’un million d’oiseaux en sont morts.
https://www.chosesasavoir.com/pourquoi-parle-t-on-du-sixieme-continent/

domenica 10 febbraio 2019

La dernière danse_Indila






Oh ma douce souffrance
Pourquoi s'acharner tu recommences
Je ne suis qu'un être sans importance

Sans lui je suis un peu paro
Je déambule seule dans le metro
Une derniere danse
Pour oublier ma peine immense
Je veux m'enfuire que tout recommence
Oh ma douce souffrance

J'remue le ciel, le jour, la nuit
Je danse avec le vent la pluie
Un peu d'amour un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse, danse,danse,danse
Et dans le bruit, je cours et j'ai peur
Est ce mon tour?
Vient la douleur...
Dans tout Paris, je m'abandonne
Et je m'envole, vole, vole, vole, vole,vole,vole,
Que d'espérance.
Sur ce chemin en ton absence
J'ai beau trimer, sans toi ma vie n'est qu'un décor qui brille, vide de sens

J'remue le ciel le jour, la nuit
Je danse avec le vent la pluie
Un peu d'amour un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse, danse,danse,danse
Et dans le bruit, je cours et j'ai peur
Est ce mon tour?
Vient la douleur...
Dans tout paris, je m'abandonne
Et je m'envole, vole, vole, vole, vole,vole,vole

Dans cette douce souffrance.
Dont j'ai payé toutes les offenses
Ecoute comme mon cœur est immense
Je suis une enfant du monde

J'remue le ciel le jour, la nuit
Je danse avec le vent la pluie
Un peu d'amour un brin de miel
Et je danse, danse, danse, danse, danse,danse,danse
Et dans le bruit, je cours et j'ai peur

Est ce mon tour?

Vient la douleur...

Dans tout paris, je m'abandonne

Et je m'envole, vole, vole, vole, vole,vole,vole

giovedì 7 febbraio 2019

Fauteuils d'orchestre


Le film de Danièle Thompson « Fauteuils d’orchestre », a été tourné autour du Théâtre des Champs Elysées, dont certaines scènes au Bar Des Théâtres, Avenue Montaigne.
Ce film met en exergue la difficile quête du bonheur: « j’aurais voulu être... ». Mais que vous soyez une actrice adulée, un virtuose reconnu, un passionné d’art qui se sépare de ses collections pour vivre une passion amoureuse ou une personne lambda, cette quête vous entraîne dans les mêmes tourments… . A moins que vous soyez raisonnable et que vous cherchiez en réalité, comme l’actrice du film « une bonne place à l’orchestre, ni trop près, ni trop loin… ».
Un microcosme…, des rencontres improbables…, le film « fait le pari d’un brassage social »    dans un quartier qui n’en est pas tout à fait un, à la croisée du monde des affaires, du luxe et des arts et où certaine grand-mère « qui n’avait pas les moyens de vivre dans le luxe, avait décidé d’y travailler… ».

Qu'est ce qu'on a fait au bon Dieu?


La comédie de Philippe de Chauveron raconte l’histoire de la famille Verneuil dont les parents, un couple de "catholiques gaullistes", ont du mal à accepter leurs quatre gendres : un juif, un Arabe, un Chinois et un Noir, tous des Français. Pendant les réunions de famille, les préjugés touchant aux origines ou à la religion fusent.
Alors que certains critiques y voient une bonne manière de tordre le cou à toutes sortes d'idées reçues, d'autres imaginent que le film produit l'effet inverse. Alors, est-ce un bon remède au racisme ou un simple concentré de clichés ? Le film aborde la question de l'intégration sans aucun détour.
David Benichou, Ségolène Verneuil ou Tchao Ling sont les membres de cette "famille Benetton", comme l'appelle un des voisins des Verneuil. Aucun cliché raciste n’est oublié : "les Arabes sont des barbares", "les Chinois ne font aucun effort pour aller vers les autres", les Noirs sont des "machines" avec les filles.
Le message de ce film est clair : le racisme est une absurdité qui pousse par exemple Claude Verneuil à confondre couleur de peau et nationalité : "Pas un Français sur les trottoirs de Barbès", observe-t-il. Toutes les situations dans lesquelles se trouvent les personnages sont propices à des saillies racistes, au point que l’effet d’accumulation parvient à porter le message de tolérance évident du film. Et toutes les religions représentées dans le film, toutes les communautés, en prennent pour leur grade… y compris les catholiques que sont les Verneuil, méprisés par le père de la famille Koffi, débarquée de Côte d’Ivoire.
Les clichés perdent de leur poids, même si les bons sentiments permettent au film de terminer sur une image positive, celle de l’ouverture vers l’autre.